3 raisons pour lesquelles l'ouverture d'esprit est la clé de l'auto-croissance

Dernièrement, plus que d'habitude, les médias sociaux ont été inondés d'opinions. Parce que les gens expriment davantage leurs convictions, d'autres deviennent plus hostiles en défendant les leurs en réponse. Les discussions rationnelles sont trop souvent rares. J'ai remarqué à la fois par l'observation et l'expérience que trop de désaccords hostiles découlent de la fermeté d'esprit des deux parties. de ne pas écouter avec persistance.

Alors, pourquoi l'ouverture d'esprit est-elle un élément extrêmement vital de l'auto-croissance?

1. Cela change votre approche des conversations.

J'ai vu beaucoup trop de gens aborder les débats (honnêtement, j'appellerais difficilement ces débats des débats; ils ressemblent plus à des raclées verbales) avec: «Si vous ______, envoyez-moi un message direct et je vous dirai pourquoi vous vous trompez . " Cela déshumanise la personne de l'autre côté de l'argument et donne souvent l'impression qu'elle veut le pire pour tout le monde. Au lieu de cela, nous devons reconnaître que la personne avec qui nous sommes en désaccord a au moins une raison de sa croyance. Comment déterminer si cette raison est fiable et provient d'un bon endroit? Nous les écoutons. Nous les reconnaissons comme des personnes qui, le plus souvent, pensent que leur chemin est le plus sûr et le meilleur.

Les arguments sur la réforme de la police et des prisons ont été l'inspiration pour ce billet de blog et l'éléphant social et politique dans la salle ici, mais gardez à l'esprit que l'ouverture d'esprit n'est pas seulement une tactique pour former vos convictions politiques (… mais certainement l'utiliser! Don N'écartez pas les idées avant même de les entendre et de les considérer).

Cela étant dit, passons à l'examen de ce processus de pensée au sein de l'amélioration des états de doute de soi, d'insécurité et d'anxiété. Il est probablement difficile de comprendre pourquoi certains amis et membres de la famille éprouvent de l'anxiété ou des doutes. Au lieu de dire: «Ne vous inquiétez pas», nous devrions leur demander de quoi ils s’inquiètent, pourquoi ils s’inquiètent et ce qui les apaise. Ensuite, nous devons exprimer leur compréhension de leur anxiété et discuter calmement de sa rationalité et des mesures à prendre pour l'empêcher à l'avenir. "Ne vous inquiétez pas", écarte les vrais soucis et crée la honte de les avoir, ce qui n'est pas utile pour la croissance de l'une ou l'autre des parties.

D'un autre côté, si vous luttez avec quelque chose comme l'anxiété ou le doute de vous-même et cherchez de l'aide, il est possible que vous anticipiez que vous êtes trop loin pour que leurs conseils vous aident réellement. Si vous les entendez sans écouter, la conversation est infructueuse car vous avez déjà décidé que vous êtes l'exception. Pour être aidé, vous devez être prêt à recevoir de l'aide.

2. Il laisse de la place pour que chaque côté ait des défauts.

Hannah Montana l'a vraiment bien dit dans sa chanson «Nobody’s Perfect». Voir nos opinions sous n'importe quel point de vue comme infaillibles parce que nous les tenons est totalement inutile. Si nous avons peur d'un pli dans notre logique, nous rendons nos idées plus extrêmes parce que nous donnons des solutions à part entière au lieu de dire: «Eh bien, c'est la meilleure chose que j'aie entendue jusqu'à présent. Qu'est-ce que tu penses?" Par exemple, la réforme de la police fondée sur l'abolitionnisme a été largement débattue et les ressources communautaires exactes qui remplaceraient certains aspects de la police ont été dispersées. Si nous croyons en une réforme de la police fondée sur l'abolitionnisme, nous devons être en mesure de reconnaître que demander aux gens à quoi ressemble leur version idéale de l'expansion des ressources communautaires est extrêmement utile, ce qui signifie qu'il peut y avoir quelque chose de plus idéal que ce que vous croyez actuellement. De l'autre côté, les gens qui soutiennent activement nos forces de police actuelles refusent souvent de penser que quelque chose ne va pas du tout, ce qui freine également les progrès.

Dans une autre avenue, si quelqu'un a des mécanismes d'adaptation négatifs au stress, il ne doit pas le balayer sous le tapis comme s'il ne s'agissait pas d'un gros problème. Au lieu de dire: «Ce n'est pas un problème. Je ne le fais même pas beaucoup », nous devons reconnaître que quelque chose ne va pas en premier lieu. De même, si leur ami essaie de suggérer un comportement pour remplacer le négatif, l'ami ne devrait pas croire que ce n'est pas seulement la meilleure façon, mais la seule façon de vivre. Cela revient à nouveau à aborder la confrontation, à prouver que la personne avec des mécanismes d'adaptation négatifs n'essaie probablement pas de les avoir, mais ils doivent vouloir aller mieux.

3. La conversation sera plus honnête et productive.

Quelle que soit la perspective de tout argument dont vous venez, il est toujours facile de se laisser emporter par le moment et de déplacer la conversation vers des attaques personnelles et des commentaires en colère. Lorsque nous supprimons ces comportements, nous faisons de la place aux faits, aux expériences et aux vraies perspectives. Un esprit ouvert permet d'exprimer toute l'étendue de chaque perspective. Cela signifie qu'à la fin de la conversation, même si les deux personnes finissent par être en désaccord, elles peuvent alors dire: «Je ne suis pas d'accord, mais je vois d'où elles viennent», ce qui se traduit par beaucoup moins de dénigrement et hostilité générale.

"Comment j'ai réalisé qu'il y avait assez de choses à faire"

C’est une blague entre mes amis et ma famille qu’en tant qu’enfant, j’étais plutôt… sûr de moi. Certains peuvent choisir le mot prétentieux, mais nous irons avec une confiance extraordinaire. De toute évidence, de nombreux enfants ont du mal à reconnaître les caractéristiques positives qu'ils partagent avec les autres; de même, j'étais trop occupée à m'aimer moi-même pour voir qu'il y avait d'autres filles qui étaient aussi joli et intelligent.

À un certain moment, cependant, une collégienne qui ne pouvait pas supporter l'idée de quitter la maison sans maquillage a commencé à remplacer ma quantité écrasante d'assurance.

Au cours de mes six années d'utilisation des médias sociaux, j'ai commencé à incorporer une habitude de comparaison plutôt malsaine dans ma routine quotidienne, et je n'ai pas reconnu sa gravité jusqu'à ce que je me retrouve sur l'instagram d'une autre fille avant d'aller me coucher en souhaitant et en priant que j'aurais pu le vrai point culminant toujours aussi parfait qu'elle dépeint sur son profil. Finalement, je suis devenu plutôt contrarié que ce soit une si grande priorité de mon quotidien, mais au lieu de prendre des mesures pour atténuer ces habitudes malsaines auto-infligées, je les ai laissées faire. J'ai choisi de les ignorer, agissant comme si je n'avais aucune raison de régler quoi que ce soit depuis que j'avais déjà identifié le problème. De quoi pourrais-je avoir besoin de plus?

Il est irrationnel de traiter nos revers personnels comme un livre qui traîne que nous voulons lire depuis six ans. Vous voyez, la seule façon de dépasser l'habitude de la comparaison était de me permettre de m'énerver de temps en temps. je eu pour arrêter d'ignorer le problème.

J'ai donc commencé à essayer. Lentement mais sûrement, je me surprends à me cacher sur la page de quelqu'un, mais je reconnais ensuite les mensonges que je répète constamment et je fais de mon mieux pour remonter le moral avec positivité. Un jour, en faisant défiler VSCO, j'ai vu une image qui disait: "Ce n'est pas parce qu'elle est jolie que vous ne l'êtes pas."

"Ce n'est pas parce qu'elle est jolie que vous ne l'êtes pas."

D'accord.

Et ensuite?

Maintenant, je souhaite que voir une image douce et stimulante sur VSCO changerait complètement ma perspective de la vie. J'aimerais pouvoir dire que je n'ai jamais autant battu un cil négativement après, mais ce n'est pas le cas. Ce que cela signifiait, c'est qu'à partir de ce moment-là, lorsque la comparaison maudite se faufilait, je me rappelais qu'il y avait assez de jolies choses à faire. Puisqu'il y a assez de jolis pour faire le tour, il y en a assez pour que tout le monde soit joli. La beauté de quelqu'un d'autre ne disqualifie pas la vôtre.

Je pensais que si j'étais aussi «jolie» que les filles avec lesquelles je me comparais, je n'aurais jamais d'autre problème. Je pensais que les jolies personnes étaient des œuvres d'art et j'ai couru dans les marges. Comprendre qu'il y a assez de jolies choses à faire est directement lié à la compréhension que personne n'est exempt de tristesse. Il y aura toujours quelqu'un qui nous décevra, et il y aura toujours un adversaire. Il n'y aura pas de pénurie de négativité ou de tristesse.

Nous jouons avec les cartes qui nous sont distribuées, mais parce que trop de gens finissent par détester leurs mains, je pense que notre vision du jeu est biaisée. Quelque chose de grandir m'a fait commencer à détester mes cartes, et ce n'est pas unique à moi. La petite Erin, trop confiante, se tenait étroitement à sa chère reine de cœur, mais je pense qu'il est temps d'arrêter d'essayer de peindre les roses blanches en rouge.

Je m'appelle Erin Harrison et je suis une fille de 17 ans de Tupelo, Mississippi. J'ai eu un voyage assez fastidieux en apprenant à m'accepter au collège, alors quand j'ai finalement fait des progrès, j'ai voulu aider les autres à en faire aussi. J'ai commencé un projet que j'appelle «Je me sens bien» pour encadrer des collégiennes afin de surmonter l'insécurité, les querelles d'amitié et même différents types d'abus à la maison. Je passe la plupart de mon temps à garder des enfants, à encadrer des adolescents et à passer du temps avec des amis. Si vous êtes intéressé par mon projet, consultez mon site Web: https://fox-seadragon-7z3b.squarespace.com/about-me?noredirect.